L’adulte

Le parage au tarissement est une pratique utile pour prévenir l’apparition de boiteries au cours de la lactation suivante.

Le début de lactation est une phase critique pour les vaches laitières. Sur cette période post-partum, la capacité d’ingestion limitée ne permet pas de couvrir totalement les besoins énergétiques nécessaires à la production laitière.

En plus des infections mammaires, l’alimentation peut accroître les comptages cellulaires individuels (CCI). C’est le cas, en particulier, des fourrages de mauvaise qualité. 

Les vaches en lactation expriment leur plein potentiel lorsqu’elles bénéficient d’un éclairage à 220 lux d’intensité (équivalent à un éclairage de bureau) pendant 16 à 18 heures, suivi d’une période à 55 lux (équivalent à un éclairage public de nuit) pendant 6 à 8 heures.

Les maladies du post-partum (infections utérines, troubles métaboliques, …) ont des conséquences défavorables sur la reproduction des vaches laitières. Elles réduisent notamment la proportion de vaches vues en chaleur au moment souhaité pour la mise à la reproduction.

Comme démontré récemment pour le virus respiratoire VRSB, une étude  a montré l’effet positif de la vaccination des mères sur la protection clinique de leur veau contre la bactérie respiratoire Mannheimia haemolytica grâce à l’immunité passive transférée par le colostrum.

Plusieurs publications en Europe rapportent une augmentation des cas de pneumonies sévères avec mortalité chez des bovins adultes, due à la pasteurelle Mannheimia haemolytica. La vaccination des vaches, en amont des périodes particulièrement à risque comme le vêlage est donc une solution à envisager pour protéger les vaches et indirectement les veaux qui recevront leur […]

Il existe différents modèles d’aiguilles pour les injections. Voici quelques critères pour faire le bon choix !

Bovins allaitants : 65 % sont carencés en cuivre, 60 % en sélénium et en iode, 52 % en zinc.

Les mammites subcliniques ont des effets défavorables sur la fertilité, dès lors que la concentration en cellules somatiques du lait dépasse 300 000 par ml.